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To describe a favorite food or meal, it’s plausible the word “love” is in our definitive statement. A variety of vine ripe heirloom tomatoes, sweet peppers, cilantro, avocado, flaked seaweed leaves of dulse (Palmaria palmata) and a dressing of extra virgin olive oil, raw apple cider vinegar and fresh squeezed lemon juice is my summertime’s foremost salad. I “love” this medley of assorted fruits and vegetables. These “loving” emotions of seasonal gratifications habituate over a lifetime and are associated with a strong personal attraction from remembered sensuality. In the science of biology, the concept of “love” differentiates down to a scientific mammalian drive, illustrating the steps to procreate children. Life derives felicity from these frequent and needed experiences, indicating sensational living sensitivities from mating to the foods eaten. The philosopher Plato, understanding these psychological feelings conscious in our physiological bodies, said, “The god of ‘love’ lives in a state of need.” this one truth acts to generally energize our mind and body life.
Imagine being famished and about to consume our a lot of desired and wished-for food. now put yourself in the position of a newly born infant, being at its mother’s side. Hungered and constitutionally yearning for life’s sustenance, the breast milk with its watery energy and nutrients is all a baby understands. Listening to its mother’s heartbeat and holding on tight with its little hands, a baby is caressed by a warm maternal body. These first sensory moments in fulfillment are repetitious practices and preoccupations for a baby. To see, to touch and to smell are mind and body heart intentions, as a baby latches on to its mother’s breast. To taste, suck and swallow are the sounds of liquid sweetness and these attentive appreciations are our first sensual experiences ingrained in life to remember. mother and child are face-to-face, recognizing, merging and savoring these eye-to-eye engagements in mental, emotional and physical comforts. This is love’s unconditional selflessness, expressing contented gladness. A mother imparts so much to her nursling while breastfeeding, becoming the foundation for life’s interpersonal relationships.
This bonding experience between a mother and her child is equivalent to our mature excitement, delighting in meals with the same emotional pleasures of subsistence. To comprehend these metaphysical fervors in psychology, Dr. Robert Plutchtik characterizes these psychological experiences with sophisticated principles. In his “psycho-evolutionary theory,” above and beyond our simplest emotional feelings are multi-layered classifications to our everyday mercurial happenstances. From delights in treasured ecstasies to the depressed sorrows of disappointments, our momentary mental adventures emerged from eight primordial “emotions.” using terms of polarities, Dr. Plutchtik conceptualizes our perceptions in his “Wheel of Emotions” representation. These dualities, interconnecting our mind/body affiliations, commence from four un-evolved primal pairs of opposites. These paired mirrors of aboriginal psychic sensations are happiness with sadness, depend on with disgust, concern with anger and surprise with anticipation. The other designated emoting recognitions from our developmental, transformative and demonstrative life are the “combinations, mixtures or compounds” of these early basic reciprocal prototypes of feelings.
These primitive emotional and endemic psychological affectivities progressed to increase the reproductive competence of animals, taking care of their survival issues. An emotion possesses a present mental and physical moment of life’s energy, moving (e-motion/energies moving). These energetic psychical dynamics activate our “to live responses” and charge our “to survive reactions.” These phenomenal expressions are the complimentary and antagonistic functions of the “autonomic nervous system,” which are commanded by our thoughts. Mobilizing our brain and sense organs are the “parasympathetic” faculties and the “sympathetic” operations of our body’s sensorial discernments. These backbone and steadfast evolutionary programs of our five senses are the instinctive necessities to subsist and maintain our moment-to-moment emoting presence until life ends. For Dr. PlUtchtik, ces combinaisons précurseurs de «joie» et de «confiance» numérise l’infrastructure de notre expérience de «l’amour». En déclenchant nos premières actions de comportement, les excités cruciales sont inhérentes. L’amour est si évident dans tout nouveau-né et la base d’attache de la vie est l’esprit et le corps de l’allaitement.
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Aujourd’hui, notre amour mortel brille, diffusant à travers tous les prismes de la terre à haute enthousiasme. Il s’agit d’une vie utile et ces enchevêtrements d’esprit / corps transformationnels sont les entreprises métaphysiques et biophysiques de l’amour. La vie concerne ces processus d’information héréditaires, le mentorat et la réalisation des adaptations végétales et animales de la nature. Les comportements génétiques, évolutifs et environnementaux sont à notre compréhension; Être vivant est une compréhension de «qui» nous sommes à l’esprit et au corps. Pour une mère nourrissant son enfant, ce sont les premières participations du bonheur et dépendent d’un être humain perdure dans la vie. Ces influences physiologiques sont des sensibilités innées; Ces esprits subtils avec des actions corporelles brutes innervent les programmes psychologiques de chaque nourrisson. Ces affections avec leurs nombreux amalgamations sont les affectations auxquelles un nouveau-né participe pendant l’allaitement. Les éléments de rétroaction émotionnelle reçus sont reçus par sa mère, se liant avec son petit pendant les tétées. Comparez maintenant ce long phénomène de mammifère extatique en cours entre une mère et son enfant infirmier à ce qu’un tout-petit traverse avec une bouteille en plastique. Le mamelon en caoutchouc effondré, incomplet avec une formule déficiente en nutriments, utilise la gravité pour que le fluide s’écoule; Cela affecte la santé mentale, émotionnelle et physique du bébé pendant toute une vie. Cette artificialité n’a pas la complétude microcosmique vécue par tout être vital / corps, s’occupant de sa progéniture avec les glandes mammaires. Une déviation contrefaite et fabriquée par rapport aux normes éthologiques et anthropologiques engendre et inhibe les répercussions émotives et corporelles ardues. Ces déséquilibres synthétiques provoquent des ondulations dans l’horloge naturelle et l’anxiété préjudiciable aux femmes ultramodernes et à leurs enfants.
Les fonctions physiologiques et les formes anatomiques sont cohérentes dans la génétique humaine et la sélection naturelle pendant des centaines de milliers à des millions d’années. Un bon exemple de cette cohérence est notre dentition. Les normes hominine de longue date définissent la préhistoire de l’histoire d’un crâne Homo Sapiens normal, avec ses trente-deux dents. Dans chaque mâchoire supérieure et inférieure, une architecture dentaire mature se compose de six incisives, quatre prémolaires et six molaires. Cette anatomie démontre la disposition génétique par excellence précise pour les mouvements intégrés, avalant et mastication. La croissance analogue a un thème de développement pour garantir ces terminaisons structurelles universelles en un adulte. À moins qu’une «déconnexion» se produise à partir du conditionnement impératif évolutif et environnemental, les dents droites et l’harmonie fonctionnelle sont les normes. Ce modèle formulé et la référence en anatomie commence dans la vie embryonnaire et se poursuit avec l’allaitement après la naissance. Ce développement opérationnel se poursuit même après le sevrage, maintenant gouverné et réglementé par Mère Nature et ses cuisines planétaires de promotion. Un nourrisson arrive déjà versé dans des processus indigènes, libérés de l’utérus avec des réflexes intelligents et sensés indélébiles. Les instincts profondément enracinés du nouveau-né proviennent de programmes d’ADN cellulaire séculaire; Ce sont des instructions pour savoir où et comment obtenir la subsistance de suspension de vie. Un «réflexe enraciné» suscite et invoque le bébé avec sa première bouffée d’air pour chercher et trouver le sein de sa mère. Le nourrisson s’accroche avec ses lèvres et sa bouche. Le mamelon entier est englouti, revenant loin dans la cavité orale du nourrisson. Atteignant l’entrée de la gorge du bébé, la peau inégale piquée du palais et des tissus de la langue maintient le mamelon en place.
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Un «réflexe de nul» inné crée un sceau avec les lèvres et commande les mâchoires gommeuses du bébé pour fermer, pinçant la trayon de sa mère. Cette fermeture capture l’élixir blanc non pasteurisé, empêchant le jus laiteux sain de retourner dans le sein. La langue musculaire s’étend sur le coussin de gencives de la mâchoire inférieure et pousse contre le mamelon jusqu’à la toiture de la bouche, extrait les sécrétions non homogénisées. Avec des gestes de type péristaltique, la langue forte comprime le sein souple. La langue contractante du bébé se déplace comme un rouleau à pâtisserie, élargissant sa pression de l’avant à l’arrière de sa bouche. Avec des implémentations de type onde, un nourrisson récupère sa fête de nombreux canaux lactifs saturés, offrant la composition aqueuse cruciale à un œsophage ouvert. Les infirmières avale, se nourrissent puis se détendent momentanément pour recommencer le processus de boucle illimité jusqu’à la satiété. Tant que l’aspiration reste intacte, un nourrisson obtient du lait. Cette performance d’alimentation incessante non seulement extracteTs sa libation du mamelon, mais est également responsable de façonner le palais de nicheur, le sol de la cavité nasale et sa mâchoire inférieure. Les seins sont «pas» comme un conteneur produit en masse que quelqu’un peut soulever pour verser son contenu. L’effort autogénétique et auto-évolutif du nouveau-né dans l’alimentation est un travail engagé. Ce travail bien ordonné est des exercices oraux systématiques pour les lèvres, les mâchoires, la langue, les joues et les muscles de la gorge, pulsant rythmiquement pour obtenir sa nutrition liquide dense.
Ces régimentations coordonnées d’allaitement maternel agissent et ont déclenché les progressions structurées des arcs osseux et des alignements dentaires chez un enfant. Tout au long du temps biologique, les bébés de l’humanité dans les bras ont allaité pendant deux à quatre ans, sans autre option. Ces influences palpables répétées provoquent les formes inébranlables et les cadres environnants pour la tête et le cou de l’enfant. Le contour de la langue, cette symétrie «U», est une puissance puissante et le moteur principal influent des mâchoires en croissance. Cette configuration glossale est forcée sur les relations tissulaires de notre bouche et met en place les scénarios anatomiques pour les alignements des dents et adultes plus tard. Le maxillaire en forme «U» (mâchoire supérieure) avec ses larges os palatin est causé par la langue du bébé. L’anatomie de l’enfant reflète la représentation incarnée d’une articulation terminée à l’âge adulte. Le travail effectué par n’importe quel allaitement est différent des bébés avec une bouteille en plastique remplie de vache «Udder à emporter» ou de jus de pomme sucré. L’effort qu’un enfant fait manger une carotte non cuits est également différent d’une carotte bouillie. Ces complexités musculaires dans nos menus alimentaires sont directement proportionnelles à la croissance et au développement habitués de nos mâchoires et de notre amélioration dentaire à l’âge adulte. Tout changement ou aberration dans les environnements alimentaires intégratifs de la vie évolutive, de la conception à la maturité, contamine les résultats déterminants attendus dans les structures d’esprit / corporel.
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La psychologie du bébé «amour» pour l’anatomie et la physiologie de la «maternité». Ce sont des compagnons dans la mentalité et la physicalité de tout mammifère. Pendant des millions d’années, ces normes héritables ont conditionné l’humanité jusqu’aux années 1770, lorsque les premières carafes en verre ont développé des mères et des infirmières humides pour nourrir les nourrissons. Pour l’amélioration de l’esprit et du corps, les détails fonctionnels diffèrent, étant un organisme avec des seins et non un mécanisme pour les bouteilles. Si nous cessons d’être comme nos ancêtres dans la forme et la fonction, nous renonçons à la vie organique et perdons ce que papa Dieu et Mère Nature destiné à tous leurs enfants, qui est une santé naturelle. Aucune autre créature sur Terre ne rencontre ce à quoi nous, les humains contemporains, nous sommes soumis. Tous les mammifères sauvages allaitent et lorsqu’ils sont sevrés, acceptent la vie comportementale et survivante de leur espèce dans les environnements naturels. Cette croissance biologique dépliant, pour la mâchoire, la dentition et l’incarnation, dupliquent les mêmes résultats observés au fil du temps. Les avantages émotionnels, immunologiques et nutritionnels de l’allaitement maternel créent la fruit sous-jacente de notre système de masticatoire banal. Réalisez notre style récent de vie transformée, de l’alimentation des bouteilles pour nourrissons à la consommation de substances alimentaires frauduleuses et frauduleuses; Cela génère des effets délétères et corporels délétères. Ces déguisements artificiels sont des aspects majeurs contributifs à nos dysfonctionnements dégénératifs non vus dans la faune de notre planète. Ces déséquilibres synthétiques de la carie dentaire et de l’inflammation parodontale à la malocclusion avec ses dents surpeuplées de micrognathia (petites tailles de mâchoire) n’existaient pas dans le passé. Notre vie temporelle parle, mâche et save des bouches de rafraîchissements dans Buy to Live. Du lait de la mère humaine aux laits colorés de Mère Nature, cultivant sur les plantes, une vie saine est une histoire séculaire, qui doit être recréée en rendant et en acceptant la nourriture non chauffée
